logo kiwik

Blog-Kiwik

le blog Kiwik avec des vraies pépites d’actu dedans !

Vous avez un projet e-commerce génial ?

Contactez-nous

tel kiwik

Catégories: Culture web, E-commerce : conseils et actus

18 leviers utiles pour optimiser vos pages produits sur votre boutique en ligne

Une boutique en ligne, c’est un peu comme une pièce mécanique.

Au départ, vous choisissez de vous orienter dans une direction précise et réfléchie, avec un premier jet que vous espérez être le plus efficace.

Puis au fur et à mesure de l’exploitation, cette direction va évoluer avec les retours clients et les différentes optimisations que vous allez apporter.

Dans ce besoin d’optimisation permanente, les pages produits sont généralement un très bon choix pour commencer vos recherches.

Oui, ce sont sur ces pages que votre prospect va généralement prendre la décision de passer le cap et de réaliser ou non son achat chez vous.

Il est donc vraiment nécessaire d’apporter à celles-ci une attention toute particulière.

Afin de vous permettre de gagner un peu de temps, nous avons listé pour vous 18 leviers utiles pour développer la performance de votre boutique en ligne en termes de SEO et de performance commerciale :

Optimiser une boutique en ligne.

Allez ! Prenons le temps de rentrer un peu dans le détail de chacun de ces leviers tels que présentés dans le schéma ci-dessus. Celui-ci pourra d’ailleurs vous servir de référence donc n’hésitez pas à le télécharger (clic droit sur l’image et “Enregistrer sous”).

Cet article a notamment été inspiré par un excellent billet (en anglais) de Paddy Moogan sur SEOmoz et par beaucoup d’autres articles tout aussi excellents (et en Français – Cocorico) comme vous pourrez le voir dans la suite du contenu !

A noter : l’ordre des différents levier n’est pas un classement.

Let’s go !

1) Titre

Contrairement à un blog ou un site vitrine, une boutique en ligne comprend généralement des centaines, voir des milliers de pages.

Dans le meilleur des mondes, chacune de ces pages devraient pouvoir disposer d’un titre optimisé à la main pour mettre en avant le produit en lui-même (avec les bons mots clés), puis votre unique selling proposition (USP) et/ou un call to action (CTA).

L’optique est d’optimiser à la fois ce titre pour le SEO et aussi pour en développer le click through rate (CTR), ou taux de clic, dans les moteurs de recherche.

L’USP, c’est ce qui va vous différencier de vos concurrents en insistant sur un point que soit “ils ne font pas”, soit “ils ne mettent absolument pas en avant”. Cela peut être un service en plus comme “Livraison gratuite” par exemple. L’USP que vous mettez en avant doit présenter un réel intérêt pour vos clients.

Un CTA, aussi appelé “appel à l’action”, c’est un élément complémentaire qui va vous permettre d’appeler l’action principale que vous attendez de votre prospect qui verra principalement ce titre dans les moteurs de recherche. Le plus direct étant “Cliquez ici” mais il existe bien évidemment des appels plus sobres (“Profitez-en” / “à découvrir sur…” / etc.).

Sur les plus gros sites, et si vous utilisez une plateforme ecommerce moderne comme Prestashop par exemple et que vous n’avez pas “le temps” de réaliser cette manipulation à la main, cela peut être généré automatiquement par votre développeur en utilisant notamment les champs “additionnels” de vos fiches produits et leur utilisation dans vos balises meta ou même dans le contenu de votre page. Cela permet de varier les USP et/ou les CTA suivant les familles de produits par exemple.

2) URL

L’URL, ou adresse de votre page, présente un véritable intérêt en termes de référencement. C’est une technique de base en SEO.

Il est primordial de vous assurer que votre plateforme e-commerce ne génère pas des URL dynamiques (comme http://www.monsite.fr/index.php?productid=013) mais bel et bien des URL permanentes (comme http://www.monsite.fr/mon-super-produit-013).

Il vaut mieux éviter d’utiliser vos catégories dans la construction des URL pour limiter une dilution des mots-clés et également si ceux-ci peuvent être retrouvés dans différentes catégories (ce qui peut amener, suivant votre plateforme, à des pages dupliquées).

La meilleure pratique est d’utiliser le nom du produit et le code du produit dans l’URL générée. L’utilisation du code produit permet d’éviter d’attribuer deux fois la même URL à deux produits. Il vaut mieux éviter. 🙂

3) Fil d’Ariane

Le fil d’Ariane permet à votre prospect de savoir “où” il se trouve sur votre site, mais pas que… C’est aussi un bon moyen de travailler votre linking interne et surtout un moyen de préciser à Google comment est organisé votre site (et quand c’est bien fait : Google le reprend même dans les résultats).

Fil d'ariane dans les résultats Google

Bref, tout le monde y gagne, et c’est bien souvent un point qui est complètement survolé.

Si vous souhaitez en savoir plus sur les microformats et leur impact en termes de SEO, voici de quoi aller plus loin :

4) Numéro de téléphone

La première chose à laquelle on pense quand on ajoute un numéro de téléphone sur son site, c’est : je vais passer ma vie à faire du support…

Ce n’est pas une question de support ! C’est une question de ventes !!!

Et puis si vous n’aimez pas parler à vos clients, vous devriez envisager de changer de métier. N’oubliez pas qu’un site ecommerce est avant tout un commerce.

Plusieurs tests ont montrés (ici et par exemple – en anglais) que l’ajout d’un numéro de téléphone avait un réel impact sur le taux de conversion, et que surtout, 90% des appels concernaient des acheteurs potentiels qui, dans 90% des cas, achètent à la suite de leur appel.

Bref, si vous ne nous croyez pas, mettez votre numéro en avant sur votre boutique en ligne et on en reparle.

5) Formulaire de recherche

Dans un monde parfait, votre prospect ne devrait jamais avoir à utiliser votre formulaire de recherche parce que votre navigation sera exemplaire.

Mais bon… qui peut le plus peut le moins. Et certains utilisateurs apprécient grandement cette fonctionnalité qui leur permet de gagner du temps.

Dans tous les cas, assurez-vous de disposer d’une fonctionnalité qui permette le suivi des recherches et leur sauvegarde pour étude.

C’est un excellent moyen de pouvoir comprendre ce qu’attendent vos clients en termes de mots clés de navigation ou pour trouver des opportunités de nouveaux produits.

6) Un menu “riche”

Un menu “riche” est un type de menu qui se développe lors du survol de la souris. C’est un excellent moyen d’organiser l’offre et de pouvoir donner accès à des pages profondes avec le moins de clics possibles.

Moins de clic = client satisfait.

Et… c’est aussi bon pour le linking interne tout en vous évitant de devoir présenter un menu proéminent “tout le temps” sur vos pages.

Pour aller plus loin, voici quelques autres articles sur le sujet des menus “riches”

7) Nom du produit – H1

Il existe un débat sur l’importance du H1 et la manière de l’utiliser (unique ou non) qui semblerait être moins décisive aujourd’hui qu’à une certaine époque.

Plus sur le sujet :

En fait, il semblerait même que ce qui est important c’est avant tout d’avoir un “gros” titre en “gras”.

D’un autre coté, nous pensons franchement qu’un peu d’optimisation ici ne peut pas faire de mal.

La manière optimale de définir le H1 est donc de faire en sorte que ce H1 soit le titre du produit.

8) Les images

Si vous voulez donner le plus de chances possibles à votre boutique en ligne, prenez le temps d’optimiser vos images.

Dans un magasin, il n’y a pas de soucis, on peut toucher le produit, le sentir même (et parfois l’essayer). Sur le web… c’est une autre histoire : donc misez sur la qualité !

Ici, deux écoles :

  • Le focus sur le produit (avec une photo exceptionnelle et présentant le produit de manière minimaliste sur fond uni)
  • La mise en ambiance (avec une photo qui présente des utilisations possibles du produit)

Une boutique en ligne de qualité permet généralement de pouvoir ajouter plusieurs images, un seul mot d’ordre : faites-vous plaisir ! 🙂

D’un point de vue purement SEO, souvenez-vous qu’il est préférable que vos images soient correctement nommées pour être riches en mots clés (produit-xyz-123123.png / plutôt que 123123.png) et celles-ci doivent SYSTEMATIQUEMENT pouvoir disposer d’une balise “alt” plus descriptive comme dans : <img src=”produit-xyz-123123.png” alt=”Produit XYZ”). Encore une fois, vous pouvez réutiliser le titre du produit pourquoi pas complété de votre USP ou d’un CTA (n’oubliez pas le sitemap pour vos images…).

9) Description UNIQUE et de QUALITE

Bon, avec Pinguin 2.0 qui pointe le bout de son nez nous pensons qu’il est assez inutile d’insister sur l’importance d’un contenu unique pour vos descriptions produits. Vous savez à quel point c’est un élément important qui peut marquer une réelle différence entre un site qui se positionne dans les moteurs de recherche, et un site qui va peiner à atteindre le TOP 30 (voir le TOP 100) des résultats.

Ce que nous pouvons vous dire, d’un autre coté, c’est que vous devez porter une attention particulière à la qualité de vos contenus.

Pensez à mettre en avant les caractéristiques principales du produit et aussi les avantages que vous offrez. Il n’y a pas de secrets, une page produit est une page de vente. Donc c’est le moment de “déballer l’argumentaire” et de mettre une nouvelle fois en avant votre (vos ?) USP.

10) Signaux sociaux

Autant il est clair que le but ultime d’une page produit est de “vendre”, autant proposer les boutons de partage sur les réseaux sociaux peut être aussi intéressant.

Ne serait-ce que pour donner un signal social positif à vos visiteurs (“Oui, vous n’êtes pas tout seul à passer sur ce site.”) ainsi qu’aux moteurs de recherche – c’est ce qu’on appelle, le référencement social.

Et surtout ! Pour les boutiques en ligne qui s’adressent notamment à un public féminin, ne négligez pas l’utilisation de Pinterest. En tant que réseau social dédié à l’image et aux produits, et avec une audience à plus de 90% féminine, Pinterest est une source de trafic qualifié exceptionnelle !

D’autant plus que lorsque l’on se trouve sur Facebook, c’est généralement pour discuter avec ses amis, sur Twitter, c’est généralement pour suivre l’actualité et les influenceurs, et sur Pinterest… c’est pour “trouver des idées”. Oui, “trouver des idées” comme dans “trouver des idées cadeaux”, “trouver des idées de déco”, “trouver des idées de voyages”, “trouver des idées de maquillage”, etc… vous voyez où on veut en venir.

11) L’appel à l’action PRINCIPAL

Ici, plus d’ambiguïté. Voici l’action que vous attendez de la part de vos visiteurs. L’ajout au panier, la passation de la commande, l’acte d’achat.

Comme tout appel à l’action, le but est que celui-ci soit le plus “clair” possible ! De même, ne prenez rien pour acquis… C’est typiquement le type de choses que vous allez pouvoir tester et optimiser avec des outils de A/B testing (comme A/B Tasty par exemple).

Les options sont nombreuses :

  • Ajouter au panier
  • Acheter
  • Acheter maintenant
  • Commander
  • J’achète !
  • Je commande !
  • etc…

Bref, il y a de quoi faire, car n’oubliez jamais que pour développer le chiffre d’affaires de votre boutique, vous avez plusieurs options :

  1. développer votre trafic,
  2. développer la qualité de votre trafic,
  3. développer votre catalogue
  4. ET développer votre taux de conversion.

Ce sont des leviers complémentaires qui doivent être utilisés de consort.

Prenez le temps de récolter les indicateurs les plus utiles en termes de conversion on-page car si vous ne savez pas d’où vous partez, l’optimisation risque d’être compliquée.

12) Le contrat de confiance

Hmm… Quand on parle de commerce.

Bref, quand vous demandez à vos prospects et clients de renseigner leur numéro de carte bleu sur votre site ou sur votre interface de paiement, vous avez tout intérêt à ce qu’aucun doute ne soit présent.

“Quand il y a un doute, il n’y a plus de doute”.

N’hésitez pas à afficher la couleur “tout de suite”. Vous êtes un “site de confiance” et votre interface de paiement est “sécurisée”.

Si vous bénéficiez de certificats particuliers, c’est un endroit qui peut vous permettre de mettre ceux-ci en avant. (N’oubliez pas de les vérifier de temps en temps quand même… Ce serait dommage d’envoyer un signal inverse).

13) Les avis clients

Les avis clients, c’est clairement un levier qui est trop peu utilisé encore aujourd’hui. Vous devez vous inciter à récolter le plus d’avis possibles pour vos produits et services !

Que ces avis soient bons ou mauvais d’ailleurs…

  • Bons : ils vous permettront de mettre en avant la satisfaction de vos clients.
  • Mauvais : ils vous permettront de vous améliorer.

Si TOUS vos avis sont négatifs : changez de métier.

De même, n’oubliez pas qu’un commentaire mécontent de temps en temps, cela rend quand même les choses plus “humaines”. Les clients ne sont pas idiots, et ils savent tout comme vous que le 100% de satisfaction est un mythe !

Si vous peinez à recueillir des avis clients, n’hésitez pas à proposer des avantages en échange (remise sur une prochaine commande, contenus exclusifs, etc…). C’est un bon moyen de démarrer.

A noter aussi, que les avis clients peuvent aussi être utilisés et mis en avant directement dans les moteurs de recherche avec les… microformats ! (Oui, encore eux…)

Et pour conclure sur ce point, souvenez-vous qu’il s’agit de contenu généré par les utilisateurs. Donc… qui ne vous a rien coûté ou presque. 🙂

14) La vidéo

Voici quelque chose d’un petit peu plus complexe. Complexe car les moyens demandés sont plus consommateurs de ressources et aussi parce que le référencement vidéo n’est clairement pas si évident que cela si on veut le faire proprement.

Quand nous parlons de le faire proprement, il s’agit en fait de faire en sorte que, du point de vue des moteurs de recherche, votre vidéo soit attribuée à votre site et non à Youtube ou Dailymotion par exemple.

Zappos nous donne un excellent exemple de cette pratique :

Vidéo produit dans les résultats de recherche

Dans ce cas précis, la vidéo est directement attribuée au site de Zappos, permettant de mettre en avant une photo du produit directement dans les moteurs de recherche.

C’est une pratique qui est “théoriquement” réalisable si vous utilisez Youtube ou Vimeo pour héberger vos vidéos (et voici de quoi lire sur le sujet – en anglais – ou ici – en Français), mais pour laquelle nos tests montrent que Google fait un peu ce qu’il veut quand il s’agit de vidéos hébergées sur Youtube. Bref, si vous avez plus d’infos sur le sujet… on est preneur !

D’un autre coté, si vous décidez d’héberger vos vidéos sur Youtube mais de lui laisser l’attribution des vidéos, cela vous permettra tout de même de pouvoir disposer de l’autorité du domaine pour positionner vos vidéos (à défaut de votre site) de manière plus efficace… en n’oubliant pas de glisser en priorité le lien vers votre page produit.

Dans ce cas précis, n’hésitez pas à prendre le temps de découvrir des contenus plus spécifiques sur le référencement de vidéos sur Youtube. Voici de quoi aller plus loin sur le sujet :

15) Questions/Réponses et F.A.Q

Si les “avis clients” sont là pour vous permettre de diffuser l’expérience que vous offrez à vos clients, les Questions/Réponses ou la F.A.Q produit sont là pour répondre aux objections.

Oui : “répondre aux objections”, comme dans une vente traditionnelle. Mais n’est-ce pas le principe même d’une boutique en ligne ?

Cette F.A.Q. peut :

  • concerner l’utilisation de votre site
  • vous permettre de préciser et défendre vos USPs (Unique Selling Propositions pour rappel)
  • vous permettre de mettre en avant les questions que vos clients vous ont posé sur tel ou tel produit (encore avec du contenu généré par les utilisateurs) et les réponses que vous avez apporté.

Bref, pourquoi ne pas laisser la possibilité à vos clients de poser une question directement sur vos pages produits ? Un petit formulaire de contact ou bien si votre structure le permet : un outil de clic to chat comme iAdvize peut vous permettre de recueillir les questions les plus courantes de vos prospects… pour ensuite pouvoir les afficher clairement ainsi que les réponses et pourquoi pas compléter vos fiches produits si besoin est.

16) Ventes croisées

L’espace de ventes croisées vous permet d’utiliser 2 leviers à votre disposition pour développer votre panier moyen :

  • La montée en gamme : en proposant à vos prospects un ou plusieurs produits répondant au même besoin mais d’une gamme supérieure (exemple : des ramettes de papier en 110g, ou alors un pack de 10 ramettes, sur une fiche produit pour des ramettes de papier en 80g)
  • La vente complémentaire : en proposant à vos prospects des produits qui sont généralement achetés ensemble (exemple : du cirage ou un kit d’entretien sur une page produit pour des chaussures en cuir, ou des forets ou un kit d’accessoires sur une page produit de perceuse)

L’intérêt est double : développement du panier et optimisation du linking interne d’un point de vue référencement en mettant en avant des produits sur une même thématique.

Dans tous les cas, ces “ventes” croisées doivent pouvoir être mises en avant en proposant à l’utilisateur soit de se rendre sur la page produit (ce qui sera l’action privilégiée sur de la montée en gamme) soit d’ajouter directement les produits au panier (action à privilégier pour les ventes complémentaires, notamment pour tout ce qui est “accessoires”).

17) La newsletter

L’intérêt d’une Newsletter est EXTREMEMENT important pour une boutique en ligne.

Tout d’abord, à la différence de votre communauté sur les réseaux sociaux, la communauté que vous allez recruter au sein de votre newsletter vous appartient réellement.

Ensuite, une newsletter, c’est l’opportunité de promouvoir votre site et vos produits QUAND vous le désirez et suivant votre plan d’actions commerciales.

Finalement, ce qui va faire la réussite de votre activité, c’est avant tout la relation que vous saurez créer avec votre communauté, et une newsletter est un excellent moyen de rentrer dans une stratégie de lead nurturing par exemple.

Bref, si vous souhaitez développer les inscriptions à votre newsletter : mettez celle-ci en avant, et proposez un réel avantage et des contenus intéressants et pertinents pour vos prospects.

Voici l’exemple de Zalando qui va même jusqu’à entamer la qualification de ses abonnés au moment de l’inscription pour savoir si ce sont des hommes ou des femmes (bonne idée, chapeau) :

Qualification prospects à l'inscription Newsletter

Si vous souhaitez en découvrir d’avantage sur le sujet, voici de quoi aller plus loin :

18) Coordonnées de l’entreprise

Afficher ses coordonnées et son adresse directement sur chaque page présente un double intérêt.

Tout d’abord, vous allez pouvoir montrer que vous êtes “une vrai boîte” avec des bureaux ou un entrepôt et que vous êtes bien “en France”. C’est bête, mais c’est rassurant.

Ensuite, si vous avez une volonté locale, cela peut être un moyen d’envoyer des signaux un peu plus précis aux moteurs de recherche du point de vue de votre localisation géographique. C’est même une pratique qui peut être appuyée encore une fois avec les microformats. Voici l’exemple donné par Google pour les microformats pour les entreprises.


Voilà ! Tout d’abord, BRAVO ! Vous êtes arrivés au bout de cet article. Pfiou… 3200 mots. Mais bon, le jeu en valait la chandelle et, avec la team Kiwik, nous espérons que vous avez apprécié les différents leviers que nous avons pu vous présenter.

N’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires et de vos questions ci-dessous, nous y répondrons avec plaisir !

On vous souhaite le meilleur pour l’optimisation de votre boutique et… si vous avez besoin d’un coup de pouce : on est là pour vous aider !

Si vous avez aimé cet article : aidez-nous à le diffuser en partageant celui-ci sur vos réseaux sociaux préférés !